Quelques belles ballades dans le massif central
Toujours en préparation pour l'Amérique du Sud, nous avons fait deux promenades sensationnelles en Lozère et dans le Cantal.
La première s'est faite vers le sommet du mont Lozère d'où partent les sources du Lot et du Tarn. Le ciel était clément mais le vent soufflait fort. Nous sommes tout de même parvenus au sommet qui ne représente pas beaucoup plus qu'une promenade du dimanche. La vue s'étendait à une centaine de kilomètres et est à couper le souffle pour une personne habituée aux plaines du Zemgale et aux monts du Vidzeme. Les paysages désertiques à cause des vents incessants et de la haute altitude n'ont pas empêché les airelles de venir tapisser les versants de la montagne.
La seconde ballade avait pour but le pied du plomb du Cantal qui a donné le nom au département qui l'entoure. La marche ne fut que de courte durée mais mon oncle a daigné nous prêter son petit buron (maison servant à héberger les bergers durant l'été et à fabriquer le fromage) pour passer la nuit. Cela faisait longtemps que je n'avais pas pu observer un coucher et un lever de soleil à une telle altitude et cela m'a vraiment fait plaisir. Sans parler de l'envie renouvelée d'aller crapahuter dans les montagnes du continent d'en face.
La première s'est faite vers le sommet du mont Lozère d'où partent les sources du Lot et du Tarn. Le ciel était clément mais le vent soufflait fort. Nous sommes tout de même parvenus au sommet qui ne représente pas beaucoup plus qu'une promenade du dimanche. La vue s'étendait à une centaine de kilomètres et est à couper le souffle pour une personne habituée aux plaines du Zemgale et aux monts du Vidzeme. Les paysages désertiques à cause des vents incessants et de la haute altitude n'ont pas empêché les airelles de venir tapisser les versants de la montagne.
La seconde ballade avait pour but le pied du plomb du Cantal qui a donné le nom au département qui l'entoure. La marche ne fut que de courte durée mais mon oncle a daigné nous prêter son petit buron (maison servant à héberger les bergers durant l'été et à fabriquer le fromage) pour passer la nuit. Cela faisait longtemps que je n'avais pas pu observer un coucher et un lever de soleil à une telle altitude et cela m'a vraiment fait plaisir. Sans parler de l'envie renouvelée d'aller crapahuter dans les montagnes du continent d'en face.