Iscie on fend

Le soir en rentrant du travail qui n'a rien de physique, rien de tel qu'une petite séance de bucheronnage. Cela est d'autant plus intéressant puisque contrairement à El Bolson, nous travaillons pour notre hiver et cela est vraiment agréable. 
Pour l'instant, le froid ne semble pas vouloir s'installer mais je n'ai aucun doute que passé l'été indien, le bois qui nous chauffe dans l'effort sera apprécié dans le feu. Je m'imagine déjà au coin du feu en train de faire griller quelques châtaignes dans les braises de la cheminée.
Hormis la taille de notre nouveau logis qui paraît immense après avoir dormi pendant cinq mois dans notre tente ou des auberges de jeunesse, la vue que celui-ci nous permet d'avoir sur la vallée est vraiment impressionnante et comme une image vaut mieux que de longs discours.
Un lever de soleil vu de la fenêtre de la chambre
Puisqu'elle a fini les vendanges, elle est pour l'instant une desperate housewife mais pas si désœuvrée que ça puisqu'elle prépare des bons petits plats qui sentent bons la Lettonie ou l'imagination. Avec un peu de bon vouloir, il est simple de faire des choses comme du pain ou des pâtes. Je suis surpris de la perte totale d'initiative totale vis-à-vis de la nourriture. La cuisine permet de découvrir des nouvelles saveurs mais aussi de se relaxer sans compter les économies qui peuvent être dégagées en ayant recours aux matériaux de base plutôt que d'acheter des plats ou des mets préparés.
Le pain fait maison
Nous avons appris que notre voisine tenait un blog en allemand sur la cuisine et je n'hésiterai pas à vous le faire partager aussi vite qu'elle voudra bien qu'on en fasse de la publicité car jusqu'à présent, il est en préparation.