Non, j'habite à
Canilhac...
Par contre, mon persil a bien poussé et je ne sais plus quoi en faire puisqu'on ne peut pas non plus le préparer seul en salade et que l'ail n'est pas en grande forme après les épisodes humides qui se succèdent. J'ai donc décider d'en ramasser un peu pour faire un bouquet et l'offrir à ma chère et tendre. Malheureusement, j'ai été éconduit et devant le regard de dégoût de mon fils, j'ai du me résoudre à une autre solution que celle du cadeau.
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Le persil doit être cueilli de bon matin |
J'ai donc fait tourné un peu mes neurones et j'ai trouvé une solution qui nous permettra d'assaisonner les plats même au milieu de l'hiver si tout ce passe bien. Je vais, à l'instar de la menthe, le faire sécher et le découper en petit morceau pour le mettre dans un grand pot. Non seulement, cela me permet d'éclaircir mon plant de persil mais en plus ça nous permettra d'avoir cet ingrédient fort en goût au milieu de l'hiver. Malheureusement, j'imagine que le séchage risque d'entrainer des pertes dans les propriétés bienfaitrices du persil. Tant pis, nous en consommons maintenant et essayons d'accumuler suffisamment de vitamines pour passer l'hiver !
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Le voilà, quelques minutes plus tard pendu par les pieds |
Je commence avec la technique du séchage avec la tête en bas avant d'essayer celle du
séchage dans des sacs en papier recyclé.
Je ne résiste pas à l'envie de partager avec vous un cliché des environs de Canilhac qui m'a fait pensé aux montagnes sur
les contreforts des Andes.
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On peut imaginer que la montagne est beaucoup plus haute |