Vivre en Courlande ou ailleurs...

Vous avez peut-être suivi les aventures des potirons qui ont grandi dans notre jardin et dont les restes nourrissent aujourd'hui les vers du compost et les tailles n'ont pas été les mêmes pour ceux que j'avais planté en pot par rapport à ce que j'avais planté en pleine terre. D'autre part, ce qui étaient en pleine terre avaient beaucoup d'espace pour se développer en étendant les nombreuses feuilles bien au sud alors que ceux en pot devaient pousser contre un mur et l'été n'ayant pas été formidable au niveau soleil, j'ai tout de même l'impression qu'ils en ont manqué. Ceux qui ont profité pleinement des épisodes de soleil et de pluie sont devenus énormes. Cependant, c'est bien beau de faire pousser des monstroplantes grâce à aucun engrais mais ce n'est pas tout de les faire pousser, il faut les cuisiner. Je me suis donc attaqué, au sens propre comme au figuré, aux potirons. Pour ce faire, je me suis armé d'un couteau pour ou

Si vous ne connaissez la Lozère que depuis l'autoroute A75, vous connaissez quand même le château de Saint-Saturnin qui est en contrebas d'une descente (ou d'une montée) à l'entrée (ou à la sortie) du département en venant de Millau (ou en y allant). La dite descente est agrémentée d'un radar et il vaut mieux regarder son compteur de vitesse que la route et encore moins le paysage. Faites-moi dire ce que j'ai dit : "je pense que dans cette descente, ce radar est dangereux". Cela dit, mon propos n'était pas de déblatérer une énième fois contre les radars automatiques. Je voulais vous parler du château du XIIIème siècle situé de l'autre côté du causse bordé par les falaises qui font face à notre maison. Ce charmant petit château se situe au coeur d'un cirque qui serait plutôt agréable si l'autoroute ne le surplombait pas avec le bruit incessant qu'elle entraîne. Les premières mentions ont été faites au XIIIème siècle et tout porte à

 Mettant à profit un nez bouché qui m'empêchait de m'endormir, je suis allé me balader sous la lumière intermittente de la pleine lune. Sans trépied et avec un appareil photo compact, il est souvent difficile de prendre de belles photos mais j'ai quand même réussi quelques clichés sympas avec la lune ou les rues de Canilhac. La C1 pas moins :) Le seule lampadaire qui reste allumé La lune lors d'une partie de cache-cache avec les nuages Le cercle

Après un automne particulièrement doux, l'hiver s'est invité chez nous ce week-end avec de grosses chutes de neige sur les hauteurs. A Canilhac, cela fait déjà quelques jours qu'on voyait de la neige sur le plateau qui surplombe le village mais hier, la neige est tombée bas, jusqu'à La Canourgue où il ne neige vraiment pas beaucoup. Du coup, nous étions comme des fous dans les champs au-dessus du village et même si la lumière n'était pas super, on a pu faire quelques belles photos. Quelques feuilles résistent encore et toujours à l'hiver Canilhac et l'Aubrac en fond Une des falaises surplombant Canilhac La couche de neige n'est pas très importante mais les sapins qui surplombent la falaise sont ceux qui connaissent la neige depuis quelques jours déjà. Les branches plient sous le poids de la neige Et des stalactites de glace se forment Ma barbe et moi avec Verteilhac en fond

Dans un monde de plus en plus connecté et mondialisé, il est difficile parfois de comprendre les tenants et les aboutissants de l'économie moderne. Je n'ai pas l'impression que les média de masse soient là pour nous aider à comprendre et je me demande même parfois si nous ne sommes pas en face d'un obscurantisme malsain digne de phrases comme "et pourtant, elle tourne". Je n'entends pas refaire le capital au XXIème siècle ou même dire que je tiens la vérité. Ce que je constate s'appuie sur deux constatations : les riches deviennent plus riches et la finance dicte les lignes de conduite aux états. Ce n'est pas un scoop mais force est de constater que la frange des plus riches ne subit non seulement pas la crise mais semble en profiter pour accumuler encore plus d'argent dont ils n'ont pas besoin. J'expliquais dans un article sur les très gros salaires que ceux-ci était totalement inutiles à l'économie puisque ce qui rapporte auj